La corniche de Beyrouth

C’est ma dernière découverte en date depuis que je suis ici — environ deux semaines. Je traînais à l’American University, au nord-ouest de Beyrouth. C’est un campus à l’américaine, morceau d’Occident pullulant de chats (gâtés (...)

Chloé : l’éternelle jeunesse

Ce jeudi, le cadre est sobre ; bien que l’on soit accoutumé à ce qu’un défilé présenté au Grand Palais s’accompagne de décors pharaoniques, la marque n’a pas succombé à l’appel de la folie des (...)

Orestie (une comédie organique ?), mise en scène de Romeo Castellucci d'après Eschyle. Orestea 2015 © Guido Mencari Source : http://www.theatre-odeon.eu/fr/2015-2016/spectacles/orestie.

Orestie, ou la violence à son paroxysme

« La parole poétique n’est qu’une pâle figurante qui s’évanouit devant le cri du singe, devant la langue écorchée, l’éructation de la gorge tranchée – autrement dit, devant la réalité ontologique de la violence qui, pareille (...)